- 23.02.25 -
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La quatrième de couverture:
1933. Comment Theo Edevane, adorable poupon de onze mois, a-t-il pu disparaître durant la nuit de la Saint-Jean ? Les enquêteurs remuent ciel et terre, mais l'enfant demeure introuvable. Pour les parents comme pour les filles Edevane, la vie ne sera plus jamais la même après ce drame. La maison du lac, la propriété tant aimée, est fermée et laissée à l'abandon.
Soixante-dix ans plus tard, Sadie Sparrow, jeune policière londonienne
en vacances dans les Cornouailles, curieuse et momentanément désœuvrée,
s'intéresse à cette mystérieuse disparition. Elle reprend l'enquête, au
grand dam de l'une des sœurs aînées de Theo, Alice, devenue écrivain à
succès.
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Pourquoi ai-je choisi ce livre?
J'avais envie d'une histoire de secret de famille et Kate Morton est tout de même l'un des grands noms du genre.
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Ce que j'en ai pensé:
De nos jours, Sadie est fortement encouragée à prendre des vacances suite à un évènement qui s'est passé lors de l'enquête en cours.
Dans les années 70, on découvre la jeune Alice et sa famille qui vont vivre un véritable drame lorsque Théo le petit dernier disparait.
Les deux histoires s'entrechoquent lorsque Sadie, au cours de son jogging, tombe sur une maison abandonnée: l'ancienne maison d'Alice et qu'elle décide de résoudre l'enquête de la disparition du petit Théo.
Comme à chaque fois avec Kate Morton, j'ai été embarquée par l'ambiance et l'écriture. J'ai encore une fois beaucoup aimé l'alternance entre les deux époques. On a toujours un peu l'impression que ça part dans tous les sens au départ (surtout que j'ai trouvé qu'il y avait énormément de personnages cette fois-ci), on a du mal à faire le lien et puis tout se met en place petit à petit. J'ai été persuadée d'avoir compris ce qui s'était passé, tout me semblait cohérent et voilà qu'un des personnages se met à détailler ma théorie, alors qu'il restait un gros morceau de l'histoire. Je me suis fait berner.
L'autrice nous balade, nous offre des petits morceaux à nous mettre sous la dent et puis boum, surprise tout fini par s'emboiter et bien évidemment on n'avait pas vu venir le truc.
Je suis souvent un peu déçue par la fin parce que c'est trop happy end et l'autrice reproduit toujours le même format, mais j'ai eu du mal à lâcher le bouquin, j'ai dévoré les 600 pages en à peine quelques jours alors c'est encore une fois une réussite.
(lu en février)
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A venir:
Scholomance, tome 1 : Éducation meurtrière de Naomi Novik
je suis très addict à son écriture !
RépondreSupprimerMais tu as raison, c'est tout à fait ça. Son écriture est addictive et tu enchaines les pages sans t'en rendre compte! Il m'en reste deux d'elle que je n'ai pas encore lu.
SupprimerJe n'ai jamais lu Kate Morton mais pourquoi pas ?
RépondreSupprimerCe sont de gros pavés, mais qui se dévorent bien. Je pense que tu pourrais aimer le style d'écriture de Kate Morton et les histoires racontées. Je te conseille La Scène des souvenirs que j'avais particulièrement aimé.
SupprimerUn pavé qui est dans ma PAL :) Vu ton avis, je devrais le lire aussi rapidement appréciant ce genre d'ambiance et d'alternance entre les époques.
RépondreSupprimerJ'aime bien les histoires de secret de famille également et je n'ai jamais lu l'autrice, alors pourquoi pas :)
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