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La quatrième de couverture:
1967, Iowa.
BettyKay et Kitty, colocataires à l'école d'infirmières, n'ont pas grand-chose en commun. BettyKay a risqué la désapprobation de sa famille pour poursuivre ses rêves loin de sa petite ville. Kitty a toujours compté sur sa beauté et son intelligence pour s'en sortir et cacher un lourd secret. Pourtant, les deux femmes partagent la même détermination à faire leurs preuves dans un monde en évolution, forgeant un lien improbable sur un campus hostile aux femmes.
Avant la fin de leur première année, la tragédie frappe et les chemins
des deux amies se séparent. Mais contre toute attente, une amitié de
plusieurs décennies se forme, survivant à bien des épreuves, à travers
l'amour, le mariage, l'échec et la mort, des jungles du Vietnam aux
paillettes d'Hollywood, jusqu'à une nuit enneigée qui va tout changer...
Cinquante ans plus tard, deux sœurs sont choquées lorsqu'une célèbre
star de cinéma se présente aux funérailles de leur mère BettyKay.
Au cours d'un week-end tumultueux, Clara et Abbie, les deux sœurs,
doivent faire face à une révélation sur leur famille qui changera leurs
vies à jamais...
Pourquoi ai-je choisi ce livre?
J'ai craqué pour sa couverture et le résumé me tentait.
Ce que j'en ai pensé:
J'ai beaucoup aimé le début de cette histoire où on va découvrir la rencontre de BettyKay et de Kitty dans les années 60/70 dans cette période de guerre d'Algérie. J'aurais aimé que cette partie soit plus développée, découvrir un peu plus cette école d'infirmière, plus que ce qui se passe dans les dortoirs.
J'ai aimé aussi cette rencontre entre Clara, Abbie et Kitty, découvrir tout un pan de la vie de sa mère par les yeux de sa meilleure amie depuis 50 ans, essayer de comprendre pourquoi elles ne la connaissent pas alors que Kitty elle, semble être au courant de tout. Vous savez à quel point j'aime les histoires à double temporalité, ce n'est pas la première fois que je vous le dis.
J'ai malheureusement soupiré avec la grosse révélation, j'ai trouvé que c'était trop vu, je m'y attendais, c'était "trop commun", alors que justement jusque là, rien ne l'était. Dommage.
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A venir: (et on va se retrouver désormais les mercredis et samedis)
La femme au manteau violet de Clarisse Sabard.
dommage la couverture me tentait bien aussi !
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